Salutations !

Je me pseudonomme Eowyn Cwper, une traduction respective de mon identité en bref et de mon nom de famille en gallois. Spécimen d’Homo sapiens sapiens apparu en 1998, j’ai vécu et grandi dans les montagnes ligériennes (que je peuple d'ailleurs toujours) où j'ai connu un enseignement à la maison complet. Cela m'a notamment permis de découvrir mes centres d'intérêt assez vite et d'apprendre comment apprendre ; une passion dont toutes les autres découlent de source.

En 2012, j'ai commencé de contribuer à l'encyclopédie Wikipédia, qui m'a révélé un monde de connaissances partagées. Deux ans plus tard, j’ai entrepris d'étudier la linguistique ainsi que plusieurs langues par moi-même, ce qui a marqué le début de mon autodidaxie. Je l'ai ensuite enrichie en approchant diverses formes d'écriture, telles que l'écriture créative à partir de 2015. La critique cinéma a quant à elle induit la création de mon blog, qui a dès lors été un bon indicateur de mes hobbys en vigueur. Depuis 2018, j'y écris essentiellement de la vulgarisation linguistique, essayant de suivre les pas de plus illustres passeurs de savoir.

En parallèle, j'ai touché à la création de langues et à la traduction, mais aussi au dessin digital et à la cartographie. J'ai par exemple une webcomic, et je suis cartographe de fiction (je cartographie des lieux qui… n'existent pas, oui). Une autre des mes activités régulières est l'animation et la gestion de communautés en ligne. Je m'intéresse également à la météorologie, car c'est la science d'un paysage insaisissable qui se renouvelle de lui-même.

Je suis à ce jour une sorte d'anachorète du monde globalisé, voletant d'une discipline à une autre, butinant hétéroclitement, parfois brièvement, mais avec passion toujours. J'aime transmettre, qu'il s'agisse de connaissances ou d'histoires, comme cette nouvelle qui explore plusieurs concepts me tenant à cœur, tels que l'équilibre sociétal ou l'intersectionnalité invisible reliant la science, l'art et la croyance de sorte à définir la place de l'individu.

Dans ce cadre qui fait rapidement s'épanouir le doute, la chasse aux biais et aux disparités sont des choses qui me rendent optimiste. C'est par exemple dans la déconstruction de ses repères que Neville se trouve lui-même et découvre l'illusion dans laquelle on le maintenait. Elle est précaire, presqu'absurde – c'est une dystopie « bon marché », quasiment sans fondement, dont toutes les contradictions sont finalement assez évidentes – mais il lui faut un déclic pour commencer à remettre en question son existence. De même qu'il en faut un au lecteur.

J'espère en tout cas qu'elle vous aura fait passer un bon moment. Vous pouvez découvrir davantage de mon univers sur le blog septiemeartetdemi.com, ou bien sur mon site personnel eowyncwper.com.

Merci pour votre lecture !

 

À découvrir dans l'anthologie ELYRANTHE avec sa nouvelle Les Poèmes sont nos chansons qui dansent.